L'IMMOBILE
Lassé
des courants glacés
Continuelle
boucle d'écume
Submerge
m'épuise
Les
velours sacrés
Du
calme
Et
Du
Pesant
de ce corridor
Qui
s'ouvre dans ma tête
Les
chemins verts
De
la mousse du suspendu
M'apaise
Je
m'endors dès le jour
***
ESTHETISME
Dans
les fers
Dans
les prisons celles
De
l'esthète impuissant
Une
vision plane qui les couleurs
Ne
ressentent plus les expressions
Du
silence
J'entre
dans les recoins du vide
Dépossédés
du cuir et du sang et de la chaleur
***
DES
MOMENTS VIDES
L'attente
m'engluant
Dans
les écrans bleutés
La
pénible peine qui revient dans les os creusés
La
maladie
Qui
S'éveille
et ne disparait
L'articulation
sommaire vers l'idéal
Du
chrétien sans réel ni
L'hystérie
des
Moments
vides et ratés
***
ENTRE
LES LIGNES
Diffuse
essence
Qui
ne luit dans les effluves
Qui
la sueur et la blancheur
Les
petites tâches brunes
Enveloppées
de peau
Et
les boutons roses qui se révoltent
Et
s'abandonnent…
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