A L’ÉPOQUE DES SIRÈNES
J'aimais les sirènes
Les
presqu'îles étriquées
Qui
s'arrangeaient parfois
Je voyais
les troncs brûlés
Puis le bleu
de l'eau
En pensant
A quelque
chose
Qui me
parcourait et
M'empêchait
de vivre
C'était
autre part
Ou peut-être
Juste à côté
D'ici
Les acteurs
sont déjà
D'autres et
des cellules
Refaites et
reconstruites
Alors
simplement une onde
Qui rampe
encore,
Qui luit
dans les corps
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